L’affaire de licenciements massifs à la société de fabrication de mèches Amina Togo Sarl continue de susciter des réactions. Cette fois, c’est l’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) qui y va de son interpellation à l’endroit des autorités administratives face à ce qui sonne comme un abandon de ces milliers de compatriotes dans leur galère.
« Le chômage ne doit pas être une raison pour les autorités gouvernementales de se délier du devoir de protéger les droits des travailleurs de la société Amina. Les revendications de ces employés sont légitimes et le @GouvTg doit œuvrer pour les satisfaire », a twitté l’organisation dirigée par Kao Atcholi.
Le silence du gouvernement alimente même des supputations. Comme ce commentaire du tweet en question : « La façon dont les membres du gouvernement réagissent vis-à-vis de ces problèmes montre à suffisance qu’ils sont de vrais actionnaires pour ces sociétés ».
