Après trois mois, suivis d’un mois,
Plus un mois et demi, et puis six mois
Et le pays fonctionne comme rien n’était,
Alors que tout le monde savait.
Les haut-parleurs deviennent muets,
Ou sont-ils en train de consommer des nuggets,
Le pourquoi l’absence est observable?
Les interventions ne sont plus remarquables.
Ô à cause de toi, Covid-19,
Les visages ne sont plus neufs,
Tout est à l’arrêt.
Bien que tu sévisses, tu ne seras jamais satisfait.
Ô les affaires publiques deviennent courantes,
Alors que le pays nécessite une évolution galopante.
Epargne le pays de cette maladie, ô Dieu,
Pour qu’il ne ferme pas ses yeux.
KODJO ETONAM AGUYEBUA
17 septembre 2020, Lomé.